Livres publiés chez Editions L’Espérance 2 décembre, 2020
Morgane et le goéland
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-11-5
Nombre de pages : 36
Genre : littérature jeunesse (6-8 ans)
Synopsis :
Morgane vit sur un nuage au-dessus de l’océan. Elle occupe ses journées à enfiler des perles de pluie. Un jour, une de ses perles lui échappe et retourne à la mer. En essayant de la récupérer, elle tombe de son nuage et fait la connaissance d’un goéland.
Prix unique : 10 €
Extrait :
» Il était une fois, une petite fille qui vivait sur un nuage.
Elle enfilait des perles de pluie et se faisait des colliers scintillants, qu’elle rangeait dans un coffret, qu’elle gardait précieusement à ses côtés.
Un jour, une perle lui glissa des mains et elle se pencha au bord du nuage pour la rattraper.
Un vent qui passait par là, se prit dans les pans de sa robe de soie et la petite fille bascula.
Elle croisa dans sa descente vertigineuse des oiseaux qui se moquaient d’elle. «
Sephora et Léon le hérisson
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-08-5
Nombre de pages : 36
Genre : littérature jeunesse (6-8 ans)
Synopsis :
Dans une prairie arrive un étrange animal. Sa forme ronde, son corps couvert d’épines intriguent les occupants. Après avoir écouté son histoire, les animaux de la campagne vont se mettre à la recherche de sa famille
Prix unique : 10 €
Extrait :
« Sephora vivait dans une prairie, loin des grandes villes et de la pollution.
De la taille d’une mouche avec sa jolie robe couleur de rosée, ses cheveux brillants en fil d’araignée, ses grands yeux d’un vert tendre et une jolie paire d’ailes scintillantes, elle occupait une grande partie de ses journées, du printemps à la fin de l’été, à butiner de fleurs en fleurs. »
Le chant des souris
I.S.B.N. : 978-2930649-01-6
Nombre de pages : 416
Genre : Policier
Synopsis :
Coline est paraplégique. Devant quitter son appartement au centre-ville, son amie Eliane lui trouve une maison à la campagne. Vingt-cinq ans auparavant, vivait dans le logement de charme une artiste qui se déplaçait également en fauteuil roulant : Fabula. Fabula y est morte dans d’étranges circonstances. Elle était « musophobe », Coline l’est aussi !
Prix unique : 20 €
Extrait :
« Depuis deux ans qu’elle vivait dans cet immeuble, elle guettait chaque nuit le moindre bruit, le plus petit craquement. Elle aimait vivre en ville, et même si elles étaient là, elles se faisaient discrètes. Coline n’était plus la seule à les traquer, elle avait Mystic.
Éliane avait pu correspondre avec le propriétaire de la petite maison. Il lui avait donné rendez-vous pour le lundi de la semaine suivante, à dix heures du matin.
Elle quitta le bureau vers neuf heures, prit sa voiture et s’engagea sur l’autoroute. Elle roula une dizaine de minutes, puis prit une départementale entourée de part et d’autre de champs. Elle traversa le village et continua dans une ruelle étroite.
Elle poursuivit sur une route de remembrement et aperçut, dans le rétroviseur, les tours d’un manoir. Elle fit demi-tour, puis remarqua les panneaux lui indiquant la direction de la prestigieuse demeure. »
Les enquêtes d’Iris Blanche, tome 1
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-00-9
Nombre de pages : 320
Genre : policier-romance
Synopsis :
Iris, jeune quadragénaire, est inspectrice de police et travaille pour la cellule de disparition d’enfants mineurs. En terminant un rapport d’enquête, elle constate que les procès-verbaux d’auditions sont incomplets et falsifiés. Marc, son compagnon, lui avoue son homosexualité. Son amant et lui sont victimes d’un odieux chantage et risquent de voir diffuser sur internet des photos prises dans un motel, où ils se retrouvaient. Tous deux travaillent à la Crime.
Prix unique : 20 €
Extrait :
« Il était une heure trente. La voiture de Marc n’était plus sur le parking. Iris passa son après-midi à relire le dossier d’Irina, elle consulta les auditions du garçon et de la jeune femme. Aucune ligne ne traitait de blessures et contusions dont souffrait Jonathan. Elle retourna chaque feuille et ne trouva aucun renseignement ou diagnostic médical.
- Julie, tu as vu le dossier médical de Jonathan ?
- Le médecin a fourni directement ses conclusions à la Cour !
- Mais où est le rapport du flic qui le premier est entré dans la pièce ?
Julie réfléchissait.
- Dans le classeur d’Irina, je suppose !
- Je ne le vois pas !
Iris rassembla le dossier et monta au deuxième. La porte du bureau faisant face à celui de Josée était fermée. Elle l’ouvrit, la pièce était vide. Elle entra dans le bureau de Josée.
- Je ne te dérange pas ?
- Jamais ! Pour une après-midi, il fait assez calme. Un problème ?
- Je cherche le rapport du flic qui était le premier sur les lieux quand Jonathan a été retrouvé et si possible une copie des constatations du médecin.
- Je t’ai remis tout ce que j’avais. Si le compte rendu de Perini n’est pas dedans, c’est qu’il devait y avoir une tache de sauce et qu’il doit être retapé.
- Mais ce document aurait dû également être dans le dossier d’Irina, le procureur n’aurait pas pu l’inculper avec aussi peu d’éléments !
- Il avait la plainte des parents et elle a renoncé à son droit à la défense !
- Mais, elle a été accusée de non-assistance, c’est une grave sentence !
- Tu te mets martel en tête, ma chérie ! Il ne s’agit pour toi que de la disparition résolue d’un mineur et pour moi d’une femme adulte qui a accueilli un jeune garçon qui était recherché par vos services. Notre boulot s’arrête où celui des avocats commence !
Iris Blanche, tome 2, Le bourreau des cœurs
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-02-3
Nombre de pages : 224
Genre : policier-romance
Synopsis :
Iris se voit confier par sa hiérarchie une enquête concernant un homicide : une femme découverte assassinée dans une voiture. Deux jours plus tard, Lionel est appelé sur une scène de crime. Le « modus operandi » des deux affaires semble identique.
Prix unique : 20 €
Extrait :
« Elle relut avec Boule, c’est le surnom que lui avaient donné les collègues en rapport avec sa tête ronde et lisse, les notes mentionnées par Marc dans son rapport :
« Il avait entendu l’appel du Central et étant le plus proche de la gare, en compagnie d’un autre inspecteur, ils furent les premiers sur les lieux ».
Boule en fit une copie et lui tendit un marqueur fluo.
Iris souligna : vingt-deux heures dix-sept, parking face à la gare, véhicule de marque française, les pneus avant et arrière gauche dégonflés, verrouillage des portes, clé de contact dans le démarreur, femme cheveux blonds attachés à la base du cou, absence de bijoux, de sac à main, de chaussures, portant une chemise blanche d’homme, jambes nues, des hématomes au niveau de la trachée, éraflure profonde sur la joue droite, aucune autre trace visible de blessure ouverte, odeur âcre et acide dans l’habitacle, coffre vide, une seule plaque minéralogique fixée à l’arrière du véhicule.
Iris compara le rapport de l’autre collègue en service avec celui de Marc, puis regarda les photographies qui avaient été prises et jointes au dossier.
- Il faudra attendre le rapport de l’autopsie pour en savoir plus sur la mort de cette femme, quel âge lui donnerais-tu ? »
Iris Blanche, tome 3, Déni de famille
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-04-7
Nombre de pages : 220
Genre : policier-romance
Synopsis :
Iris et son équipe enquêtent sur le braquage d’une banque. Le directeur, Jacques De Marneffe a été abattu de deux balles : une dans la tête, l’autre dans le cœur. Lionel et Iris partent en vacances dans le Sud-Est de la France. En déchargeant le coffre de la voiture, Lionel découvre des sacs contenant des restes humains en cours de décomposition, des chairs rongées à l’acide sulfurique. Que faisaient-ils dans leurs bagages ?
Prix unique : 20 €
Extrait :
« La jeune femme attendait dans une des pièces. Derrière une vitre sans tain, Iris l’observait. Les yeux baissés sur la table métallique, Isabelle avait passé l’index gauche dans l’anneau qu’elle portait au cou. Une agente en faction devant la porte lui proposa un soda qu’elle accepta.
- À nous de jouer ! lança Lionel à son épouse.
Ils entrèrent dans le local et se présentèrent. Iris lui lut le rapport d’audition réalisé le matin même.
- Je vous rappelle Mademoiselle que vous êtes entendue dans le cadre d’un homicide, souhaiteriez-vous revenir sur vos propos ? lui dit Lionel en lui présentant des photos.
La femme se pinça les lèvres.
- Quelle idiote ! laissa-t-elle s’échapper.
- Personne n’est pas parfait ! rétorqua Iris. Nous reprenons tout depuis le début, ajouta-t-elle.
Isabelle se cala dans le fond de la chaise métallique.
- Je ne parlerai qu’en présence de mon avocat ! finit-elle par dire en baissant les yeux.
- C’est votre droit ! Donnez-nous son nom, nous allons le contacter, répondit Lionel se tournant vers le miroir sans tain séparant la pièce d’un local d’enregistrement.
Il invita Iris à quitter la salle.
Isabelle fixa l’agente en faction, puis se saisit des photos qu’elle regarda l’une après l’autre.
« Après tout, elle ne prouve rien. Une fin de journée à prendre un verre avec des amis ne suffit pas à m’impliquer dans le braquage. Zut, l’anneau ! Renato m’avait demandé de le retirer. Là, je suis bonne pour porter le chapeau et si je les dénonce, ils s’en prendront à Catherine. C’est pour elle que je l’ai tué, c’était un salaud, je ne regrette rien ! Il faut que j’en parle à cette inspectrice, elle m’a l’air moins con que les autres, elle pourra peut-être la protéger », pensa Isabelle en empilant les photos sur le coin de la table. »
Iris Blanche, tome 4, Voile sur les vignes
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-13-9
Nombre de pages : 208
Genre : policier-romance
Synopsis :
Après 24 années passées au service de la police judiciaire, Iris va s’installer dans le Sud-Est de la France, au pied du massif de la Clape. Reconvertie en inspectrice pour une compagnie d’assurances, « un flic restant un flic », elle mènera des enquêtes entre les vignes et les olivaies.
Prix unique : 20 €
Extrait :
« Monsieur Rémy ouvrit la double porte du hangar. La pièce d’une trentaine de mètres carrés n’avait pas de fenêtre. De l’outillage agricole y était stocké. Iris s’approcha d’une échelle télescopique rangée derrière le tracteur utilisé par Amaury.
- Elle pourrait correspondre aux ornières laissées dans l’allée. Pourriez-vous déplacer cette machine ? demanda Iris en s’adressant à Amaury.
Il s’exécuta. Dan s’approcha de l’échelle et la déplaça au centre de la pièce, la baignant dans le soleil.
- Il y a des taches de sang de ce côté du montant ! dit Iris en regardant Amaury.
- Je l’ai utilisée samedi pour tailler la haie !
- Vous ne vous protégez pas les bras ?
- Les épines du pyracantha sont redoutables, elles traversent les gants de protection ! reprit Amaury en montrant ses avant-bras couverts d’égratignures.
- Vous devriez vous faire soigner, vous avez du sang qui traverse votre bandage.
Dan prit en photo les pieds de l’échelle et les traces laissées sur le côté gauche du montant.
- Je pense que nous avons assez d’informations ! finit par dire Dan.
- Une dernière question ! Où étiez-vous Amaury dans la nuit de samedi à dimanche ? insista Iris.
- Vous êtes de la Police ?
Les filles de Minahytu
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-06-1
Nombre de pages : 272
Genre : science-fiction
Synopsis :
Ben est un voyageur de l’espace. Il est né en 2182 et a pour mission de retrouver dans le passé un être conçu à l’origine de l’espèce humaine possédant une chaine d’ADN sans fissure.
Prix unique : 20 €
Extrait :
« Il voyait la forme noire vingt fois mieux qu’à l’œil nu. Elle était pétrifiée, le silence régnait. Il passa son index délicatement sur la peau, suivant doucement les contours du tatouage, puis dévia en remontant le long de sa gorge. Elle avait le nez dans ses cheveux, elle le respirait plus fort qu’elle ne l’avait jamais osé, elle sentait monter en elle le désir de le prendre dans ses bras, de se blottir contre lui.
- J’ai trouvé ! cria Alex.
Il tenait dans les mains un gros livre très ancien. Il le plaça à côté de Lise, sur la table.
Les pages étaient aussi fines que les ailes d’un papillon, le livre ne contenait que des dessins. Lise reconnut les hiéroglyphes. Son père était un inconditionnel de tout ce qui touchait à l’Égypte. Petite, il lui avait enseigné à reconnaître quelques caractères de l’alphabet égyptien.
- M.I. N.A.H.Y.T.U ! lut-elle à haute voix.
- Exact ! répondit enthousiaste le médecin. Vous lisez l’ancien égyptien ? l’interrogea-t-il.
- Du tout, un souvenir de jeunesse !
Le médecin leur montra le dessin, qui représentait une jeune fille dans une très ancienne Égypte. Elle était dessinée de face et le torse nu, ce qui était assez rare pour l’époque à laquelle il avait été réalisé. Elle tendait les bras vers le soleil et avait sur le dessus du sein gauche un tatouage. »
La chambre des départs (suite de « Minahytu »)
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-07- 8
Nombre de pages : 208
Genre : science-fiction
Synopsis :
Dans une famille, les secrets ne sauraient être gardés ! La rencontre de Drisana va bouleverser l’univers de Phil et le confronter à l’exceptionnel patrimoine génétique que ses parents lui ont transmis.
Prix unique : 20 €
Extrait :
« Le soleil le réchauffait de ses doux rayons. Il s’était profondément endormi et avait fait un rêve étrange. Il avait modifié l’appareil permettant la tomographie par émissions de positons, le « TEP », et l’avait transformé en téléporteur. Il lui avait suffi de créer un logiciel qui recueillait toutes les données analysées par une caméra, il les transcrivait et les conservait. La moindre cellule composant le corps humain était répertoriée et reconnue. Il se voyait dans le labo, deux cabines identiques avaient été créées, chacune reliée à deux larges armoires comprenant des ordinateurs de hautes performances. Il se déshabillait et entrait nu dans une des deux cabines. La porte se fermait, il enclenchait un gros bouton vert se situant à sa droite. Un faisceau lumineux bleu l’entourait et le balayait de la tête aux pieds. Le trait devint blanc assurant Phil que son scannage était terminé. Sous le bouton vert se trouvait un autre bouton : bleu. Il l’enfonçait. La cabine devenait d’un bleu intense, son corps disparaissait, il se désintégrait en millions de petits points scintillants. La lumière s’éteignait dans la première cabine et éclairait la seconde, où son corps se recomposait et se régénérait. Il ressortait, de cette dernière, en pleine santé. Toutes anomalies cellulaires ou génétiques étaient corrigées. Il s’agissait bien d’un rêve, Phil n’avait aucune anomalie génétique. »
Memo thème – mes mots t’aiment
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-05-4
Nombre de pages : 256
Genre : poésie
Synopsis :
Des mots au fil des joies, des peines, des jours gris et des matins soleils… Des mots qui se rêvent les nuits d’insomnies, qui se chuchotent sur l’oreiller pour des instants privilégiés…Des mots qui sont les notes blanches et noires se jouant sur la gamme de mes symphonie…Des mots, des thèmes…Mes mots t’aiment.
Prix unique : 15 €
Extrait :
« Je regarde et…
Je vois de la beauté quand…
Le grand se met à genoux à côté du petit,
La main s’ouvre sur le poing,
Un sourire apaise les pleurs
Une parole calme les cris
Un oiseau se pose sur son nid
Une fleur pousse sur le béton
…
Mes yeux plongent dans les tiens. »
Les plis de sable
Auteur : Michèle Hardenne
I.S.B.N. : 978-2930649-14-6
Nombre de pages : 124
Genre : poésie
Synopsis :
Le sable, le ciel et l’eau ne peuvent vivre sans le vent. Ils ont besoin de ses chuchotis, de ses bruissements, mais aussi de ses colères. Les plis de sable enfouissent les pensées, le temps que le vent vienne les libérer.
Prix unique : 15 €
Extrait :
« Le banc de sable mouillé
Vent de mer, sur ma peau tu déposes tes baisers salés,
Plages, baignées de soleil, tu me brûles les pieds,
Mais, il est une frontière où je peux déposer mes maux,
Une limite où tout s’abandonne, entre la terre et l’eau,
Où les traces, passent et s’effacent, sans regrets,
Où les vagues, elles-mêmes viennent s’abandonner,
Le temps d’une pause sur un banc de sable mouillé. »