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Une enfance envolée. 16 septembre, 2011
Une enfance envolée .
Le brouillard est épais, il faut y aller avant que les routes ne soient encombrées.
Il porte de nouveaux habits : une petite salopette en coton verte, un sweet à capuchon jaune, sa couleur préférée, et des bottines en cuir bleu.
Arrivé dans la cour de l’école, je lui ferme son manteau et lui tends la main : « tu es un grand maintenant, regarde les enfants, ils n’ont pas de tétine en bouche !
Il a les yeux humides, il regarde les autres enfants accompagnés de leurs parents.
Certains pleurent, d’autres rient.
Il enlève de la bouche sa tétine et me la donne.
Une jeune institutrice vient vers nous.
Elle me parle dans une langue que je ne pratique pas, s’agenouille pour être au niveau de mon garçon, lui dit quelques mots, le prend par la main et l’emmène vers l’intérieur du bâtiment.
Ma gorge se noue, mes yeux se brouillent, j’ai envie de courir vers lui pour lui donner un baiser, le prendre dans mes bras, le serrer contre mon coeur et me rassurer …mais, je me retiens et le vois disparaître.
C’était il y a seize ans, mon fils faisait sa première rentrée scolaire dans une école maternelle, en immersion dans une autre langue que le français.
Aujourd’hui, mon grand fait son entrée à l’université et mes yeux sont à nouveau humides.
Il brille d’une telle fierté, que j’avais envie de vous les montrer.
M.H.
Merci pour ces conseils forts intéressants, cela fait vraiment plaisir de tomber sur des articles aussi intéressants que les votre ! Je vous souhaite santé, longévité, succès, bonheur et la paix du cœur.
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yo
on a tous vécue ce difficile passage de l’école
le mien, pour le premier jour, à fait le tour de l’école, on allait partir quand sortant ni vu ni connu voila t-y pas le petit pépère qui sort par la porte, pas d’instit, on sort de la voiture assez colère, josé fonce voir l’instit pas bien soudain dans ses basquettes et il nous soutiens mordicus qu’il les a tous conter, la josé vire de couleur, alors l’instit nous certifie que tout ira bien et nous demande de partir,on a attendu deux heures dans la voiture pour être sûr qu’il n’y aurai plus d’incident, notre fils le lendemain ne voulait plus y retourné, sauf si on venait le cherché, ça a durée un bon moment. nous aussi on venait de déménageait. tu vois,là il est grand 33 ans, il s’en souvient toujours de ce prof, ça veut dire beaucoup de chose, non!
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mdrrrrr, j’imagine le gamin et les parents ! Un spirou, le bonhomme !
On n’oublie rarement son premier « Instit ».
Plein de bisous.
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Dernière publication sur Nouvelliste. : Quel est votre plus loin?
Bonjour Michèle,
Le coeur lourd et les yeux humides,
De l’enfant, ce jour là timide,
D’une maman toujours émue,
De voir son fils ainsi promu,
Au rang de l’université,
Et pour sa plus belle fierté.
Grand, est devenu son enfant,
Mais l’amour, reste triomphant !
Tendres bises.
Paul Stendhal
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Bonjour Paul,
nos enfants ont de la chance de bénéficier d’une scolarité !
Bises et à bientôt.
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Dernière publication sur Oaristys : Poème : Confession
Très joli récit : émouvant.
Aujourd´hui ton petit bonhomme est devenu un homme et c´est avec fierté qu´il a passé la porte de l´Université. Bien sûr, la peur lui serrait peut être un peu la gorge, mais au fond de lui, il sait qu´il pourra faire face aux difficultés qu´il rencontrera dans ce nouvel univers qui n´est que la continuité du précédent!
Et toi, sa maman, tu seras à ses còtés pour le soutenir dans les épreuves qu´il pourra rencontrer : il sait qu´il peut compter sur toi et que tu seras toujours de très bon conseil.
Bisous
Isa
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Bonjour Isa,
Le deuxième nom de mon gamin c’est « cool-zen » ! rire.
Bises et à bientôt !
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Dernière publication sur De Madrid à Liège, me rejoindrez vous dans mes délires
? : La coupe du Roi (2012-2013) pour l´Atletico de Madrid. Merci Cholo.
C’est vrai que la rentrée des classes c’était il y a quelques jours accompagnée de quelques pleurs de petits minots et de larmes maternelles !!!
ARSENE GRISALI
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Bonjour Alain-Arsène,
j’ai été institutrice primaire.
C’était une telle joie d’accueillir les enfants, le premier jour d’école que je ne voyais pas le regard des parents.
Et puis, j’ai été maman et je n’ai pas croisé le regard de l’institutrice…pour elle, la priorité était de prendre mon petit garçon et de l’accueillir pour qu’il se sente sécurisé et rassuré !
Que de souvenirs…heureux !
Bises et à bientôt.
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Coucou non re coucou
Nous sommes des mamans et bien souvent la première fois est plus pénible pour nous que pour eux
Alors tu vois comme tu as le droit d’être fière de ton loulou. Mais il est grand maintenant et tu verras tu n’es qu’au début de tes peines. Attends encore un peu le départ de la maison. Je le vis aujourd’hui dès lors que c’est mon dernier fils qui va partir (tu vois il est encore là) et là plein de questions, de sentiments, d’appréhensions remontent à la surface
bonne journée ma belle
bisous
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Lol,
je crois bien que j’ai un « Tanguy » à la maison. Il a ses appartements et compte bien s’y accrocher : il a une femme d’ouvrage, une cuisinière et un chauffeur … et il nous paie en « amour », alors…
Gros bisous.
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Dernière publication sur FANETTE : lll