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IV. LA CHAMBRE DES DEPARTS 16 avril, 2010
Pour obtenir le roman en PDF (176 pages A4), laissez-moi un commentaire.
Michèle HARDENNE, le 02/02/2010 RESUME : LA CHAMBRE DES DÉPARTS (suite des filles de Minahytu) Ben et Lise ont la cinquantaine. Depuis 1983, ils ont fait le choix de poursuivre leur vie sur Terre. Lise n’accompagne plus Ben dans ses voyages. En 2017, leur fils Phil, âgé de 25 ans, est physicien dans un centre de recherche.
Il est employé par le gouvernement et travaille dans un laboratoire annexé à un grand hôpital. Phil est chargé d’améliorer le système de reconnaissance cellulaire d’un appareil médical. Il a le projet de modifier cette machine pour en faire un régénérateur de cellules vivantes. En faisant des recherches concernant sa propre identité génétique, il constate des falsifications dans son dossier médical. Ben est généticien, c’est lui qui a établi le rapport concernant son fils. Une famille ne peut avoir de secret. Ben et Lise vont révéler à Phil, les origines de son patrimoine génétique exceptionnel. De sa mère, il a reçu les gènes que la nature lui a transmis, de son père ceux que la science a pu manipuler.Dans les grandes villes, en 2017, la crise économique du début de la décennie a provoqué une augmentation du nombre d’indigents. Phil rencontre Drisana. Elle vit dans la rue, depuis deux ans.
Elle est bénévole dans une annexe désaffectée de l’hôpital, un ancien asile psychiatrique qui accueille les exclus d’une quelconque aide sociale. Ben et Lise s’y rendent également tous les soirs, pour y apporter leur aide. La plupart des indigents qui y sont accueillis sont en fin de vie. Cette annexe a été aménagée pour leur permettre un dernier voyage, dans leur dignité d’être humain. Ben y a fait installer la « chambre » qui lui a permis de voyager, et d’arriver à une époque, celle de Lise. La chambre, installée dans le vieux bâtiment, est à présent destinée pour des départs. Les dérèglements climatiques sont ingérables, des cataclysmes se déclenchent d’abord en Chine, ensuite en Inde. Les morts se comptent par millions. Les nations se désolidarisent les unes des autres, chacune individuellement doit se préparer à assurer la survie d’une partie sa population, l’aide entre les peuples de la terre disparaît. Les caisses des gouvernements sont vides, la priorité est donnée à la recherche.La Terre a de la fièvre et tant que la température de son corps ne diminue pas, le dérèglement du climat restera une menace pour notre espèce. Le peuple de la Terre doit réduire une grosse partie de son activité destructrice, il doit consommer autrement et plus naturellement. La solidarité entre les peuples peut y parvenir. Si les consciences se réveillent, ensemble et solidaires, les enfants de la Terre l’a soigneront, ils l’accompagneront dans sa convalescence.
Je trouve cet essai parfaitement réaliste…Nous en sommes au point critique entre l’individualisme, la peur de l’autre, l’étranger, alors que nous sommes tous issus du même départ, des mêmes origines. L’humain doit regarder devant avec les yeux de l’amour uniquement afin de sauver ce qui peut l’être encore.
Le profit et la bêtise massacrent notre trésor unique, notre paradis et notre école; la terre.
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Ce récit est la suite d’un premier écrit : « les filles de Minahytu », j’ai une maison d’édition qui m’a fait une belle proposition mais je n’y ai pas donné suite.
J’ai écrit cette histoire en la voulant du domaine de la science fiction, mais les comités de lecture qui l’on eut en main la voit comme « Roman d’anticipation », j’aime pas cette catégorie.
Quand mon second roman sera édité, je me pencherais sur ces deux récits et les retravaillerais.
Je veux écrire pour les gens, par pour des « chercheurs en biologie molléculaire et génétique ».
Je veux que mes histoires restent des romances avec une belle fin, avec une porte sur l’espoir !
Merci de ton passage
A bientôt
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Très intéressant, cet essai que tu as rédigé dans le domaine de la Science fiction, je suis convaincue que c´est un récit passionnant qui nous emporte dans un monde nouveau: celui de ton immaginaire.
Bises
Ismeralda
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C’est un récit en deux parties, chacune fait un peu plus de 450 pages.
Un de mes rêves est de l’éditer et je pense que pour septembre la maquette pourrait être réalisée.
Bises et merci pour ta lecture.
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Dernière publication sur De Madrid à Liège, me rejoindrez vous dans mes délires
? : La coupe du Roi (2012-2013) pour l´Atletico de Madrid. Merci Cholo.
Bonjour, votre étymon spirituel semble être lié à la génétique et aux mondes extraterrestes. Pas mal.